Test de Trouserheart sur iPhone

10 tons est un éditeur très actif sur l'App Store. On lui doit de très nombreux jeux, dont par exemple Sparkle ou Azkend.

Nous nous intéressons aujourd'hui à Trouserheart (Jeu, iPhone et iPad, 4 étoiles - 6 votes, VO, 141.2 Mo, Game Center), un hack'n'slash apparemment très coloré et plein d'humour.

Principe du jeu :

Tout commence par une petite cinématique dans laquelle le roi se fait voler son pantalon alors qu'il fait une sieste probablement bien méritée sur son trône. Bien sûr un roi sans pantalon ce n'est pas envisageable, surtout si on ne s'appelle pas Dagobert. Donc notre héros va partir à l'aventure avec pour objectif de récupérer son froc.

Le tout se présente sous la forme d'un jeu de rôle très orienté action. Le héros dispose de quatre caractéristiques : attaque, défense, vie et gain d'argent. L'argent, justement, que vous amasserez, servira à améliorer ces caractéristiques.



L'aventure est divisée en territoires, eux-même composés de châteaux. Chacun d'entre eux vous demandera de traverser plusieurs salles qui tiennent sur un seul écran. Ces salles peuvent être remplies d'ennemis, de pièges, de boss ou encore être des points de repos et de sauvegarde.

Le personnage principal se contente d'attaquer avec son épée, en effet il ne possède pas de compétences actives. Par contre en fonction du niveau de son aptitude de défense, il peut bloquer les attaques ennemies.



Les ennemis parlons-en justement, ils sont assez variés et possèdent des capacités spéciales. Certains vous voleront de l'argent ou même un morceau d'équipement. D'autre vous jetteront des bombes dans la poire. On trouve également des slimes qui se divisent en fonction des dégâts reçus. En bref, un bestiaire à la fois classique en apparence, mais plein de surprises.

Les boss sont nombreux et forcément plus retors que leurs petits copains. Lorsque vous perdez face à l'un d'entre eux, vous retournez quelques salles en arrière dans le château, sauf si vous avez activé la mort permanente.



Il existe en effet une option permettant de transformer Trouserheart en roguelike avec mort permanente. Le jeu n'étant pas très difficile, vous pourriez être tenté de recommencer en l'activant. Je vous conseille toutefois de terminer l'aventure au moins une fois, que ce soit en mode normal ou hardcore, qui propose un challenge plus relevé. De toute façon le jeu est assez court, et même trop court, pour être totalement franc.

D'ailleurs, si vous êtes un habitué du genre, commencez tout de suite en mode hardcore sinon vous allez vous ennuyer sec.

Je pense avoir fait le tour de ce qu'il y a à dire à propos de ce jeu finalement très simple.



Conclusion :

Pour conclure, comme vous l'aurez remarqué, Trouserheart est effectivement un jeu simple, où la gestion du personnage est réduite au minimum. Les niveaux s’enchaînent de façon très linéaire, sauf pour les coffres qui apparaissent sur la carte de temps en temps et qui permettent de gagner un surplus d'or.

Une aventure très courte, pas très difficile, mais qui reste agréable et amusante. Voilà comment on pourrait résumer ce jeu.



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