Facebook : Mark Zuckerberg rassure les employés de la firme

Depuis quelques mois, l'ambiance au sein de Facebook doit être en dents de scie à cause des différents évènements autour du réseau social.

En juillet par exemple, la firme a dû payer un beau montant de 5 millions de dollars à la Federal Trade Commission pour des questions de confidentialité, mais a au moins fixé les limites de ce côté-là. 

À la fin de ce même mois, le célèbre réseau social a annoncé ses résultats, bien meilleurs que ce qui était annoncé par les analystes, faisant ainsi remonter le cours de ses actions.

Facebook fait le bilan avec ses employés

Malgré ces belles lueurs récentes, au sein de l'entreprise, il semblerait que les employés prennent peur à cause des évènements récents et de ces attaques autour de Facebook. Les candidats à la présidence de 2020, par exemple, n'ont pas tous des visions positives du réseau social : Elizabeth Warren avait appelé à la dissolution de Facebook. 

Ainsi, tous ces doutes et ces bruits ont été évoqués lors de deux séances de questions-réponses entre le CEO, Mark Zuckerberg, et ses employés. The Verge a mis la main sur deux heures d'audio :

Vous avez quelqu'un comme Elizabeth Warren qui pense que la bonne solution est de démanteler les entreprises… Je veux dire, si elle est élue présidente, je parierais que nous aurons un bras de fer juridique et je parierais que nous gagnerons. Si ça craint toujours pour nous? Ouais. Je veux dire, je ne veux pas avoir un procès important contre notre propre gouvernement. Je veux dire, ce n’est pas la position dans laquelle vous voulez être quand vous êtes, vous savez, je veux dire… c’est comme si nous nous inquiétions de notre pays et que nous voulions travailler avec notre gouvernement et faire de bonnes choses. Mais au bout du compte, si quelqu'un essaye de menacer un être aussi existentiel, vous allez vous battre.

Zuckerberg semblait détendu, s'est permis quelques plaisanteries et a provoqué des fous rires en affirmant qu'il aurait été licencié à plusieurs reprises au fil des ans s'il n'avait pas négocié un contrôle total sur la société.

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